A l’heure d’un phénomène d’ampleur qui ne concerne pas seulement le champ de l’accompagnement sanitaire et médico-social, mais qu’il convient de resituer dans un contexte global de changement du rapport au travail, majoré par la crise Covid 19, la préoccupation des soignants se concentre sur la recherche du sens dans leur travail. Si on prend le temps de les écouter véritablement, et, surtout si les établissements et services se donnent les moyens de créer les conditions d’une réflexion pluridisciplinaire, alors, cette quête du sens au travail, condition impérative à l’exercice de missions « humanitaires », dans le respect de l’humanité de la personne vulnérable autant que dans le respect de soi-même, sera envisagée comme un levier motivationnel. En effet, en plus de constituer la base pour une mise en oeuvre de bonnes pratiques professionnelles, grâce à une culture du questionnement permanent, dans la visée de la bientraitance des personnes vulnérables accompagnées, l’exercice de la démarche éthique, dans l’aide à l’orientation thérapeutique pour les équipes de soins, comme dans l’aide à l’orientation stratégique et organisationnelle pour les équipes d’encadrement, s’avère un outil de prévention du « burn-out des soignants » propice à éviter la fuite des forces vives du soin et de l’accompagnement. « Le soin est un humanisme » 1 Fleury C. « Le soin est un humanisme », Tracts, Gallimard, n°6, 2019, 43p
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- Les 4 étapes incontournables pour initier une démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire dans votre établissement
- Les enjeux clés, propres à la restauration responsable en EHPAD
- Les clés de la réussite pour pérenniser cette démarche.
Vous connaîtrez ainsi les moyens humains et techniques à mobiliser pour démarrer avec succès une démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire dans votre résidence.
Alors que « the big quit » (la grande démission) menace l’ensemble des EHPAD, raréfiant les soignants au chevet de résidents de plus en plus dépendants et de plus en plus malades, le manque de médecins traitants pour les résidents d’EHPAD pose un problème aigu de santé publique : quel médecin prescrit en EHPAD ? Le médecin coordonnateur ? Le médecin prescripteur salarié ? Le médecin de garde ou d’astreinte ? Le médecin spécialiste ? Le médecin remplaçant ou intérimaire ? Le télé-médecin ?... L’infirmière en pratique avancée dans le cadre d’un parcours coordonné ?... Au-delà des différents rapports et recommandations (DGOS, DGCS, Cour des Comptes,…) proposant de changer le modèle des EHPAD, le médecin coordonnateur se retrouve le plus souvent seul pour répondre à cette question d’actualité : quel accès aux soins pour les citoyens résidents en EHPAD ?
La protection des équipes et la prévention des risques sociaux sont devenues des facteurs d’attractivité dans les métiers du soin et de l’accompagnement.
Quels outils et quelles démarches développer pour améliorer la qualité de vie des professionnels, prévenir et protéger leur santé, optimiser leur activité et les aider à trouver leur juste place auprès des résidents ?
L’ergothérapeute, professionnel de santé, intervient auprès des personnes âgées pour maintenir leur équilibre occupationnel : il va intervenir pour que la personne puisse poursuivre la réalisation de ses activités de manière autonome, indépendante et satisfaisante.
Or, il ne peut y arriver seul : que ce soit en EHPAD ou à domicile, l’ergothérapeute intervient avec d’autres professionnels du monde médical et paramédical. L’interdisciplinarité est donc essentielle : agir ensemble dans un objectif commun pour la personne.
Les deux piliers des EHPADs (concentration et sanitarisation) se sont effondrés au fil des crises. Des milliers de postes sont vacants dans des secteurs où il n’y a pas de disponibilités sur le marché du travail et où les écoles sont en grande partie vides. Le recrutement vers d’autres secteurs professionnels (psycho-sociaux) est inévitable, d’autant plus que ces accompagnants apportent de la vie, de l’attention, de l’écoute et des projets à vivre. L’animation de la vie sociale a tenu lors des crises, s’est consolidée, et se situera comme un acteur clef de l’ouverture.
Quelles sont les conditions pour que ces nouveaux acteurs viennent, puissent évoluer ?Quelles sont les conditions pour que la vie des anciens s’améliore dans les structures et les domiciles ? Quelles priorités devront être revues et modifiées ?
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